<h2>Approche n<sup>o</sup>1 (2h30-3h30)</h2> <p>Du refuge des Bans, monter vers les Bans en rejoignant le long névé-glacier résultant des nombreuses coulées de neige, en allant vers l&#8217;W. Remonter ce névé jusqu&#8217;au pied des contreforts. Un peu plus bas que le point 2956&#160;m, juste après une cascade, là où le glacier forme une poche à droite. Gagner un système de vires évidentes puis traverser un large dièdre et escalader un peu plus loin un court ressaut délicat (un spit en place pour un rappel de 10&#160;m à la descente, cairn en haut). On rejoint alors rapidement par la droite le lit du torrent alimentant la cascade vue précédemment. De là, prendre pied sur le névé ou remonter au mieux cette large et longue &#8220;rampe humide&#8221;/éboulements jusqu&#8217;à arriver à droite de la base des contreforts, souvent enneigée tardivement. La voie se situe complètement à la droite, au niveau du sommet de la falaise surplombant le glacier des bans et au départ de la corde fixe permettant d&#8217;y descendre.</p> <h2>Approche n<sup>o</sup>2</h2> <p>(à compléter) Le réchauffement climatique (10/08/17) encourage à accéder à la rampe située au pied de la voie par des vires (un peu instables) démarrant au niveau du ravin de Coste Counier</p> <h2>Voie</h2> <p>(longueurs de 40-45&#160;m environ) L# | 4b | Remonter la dalle puis le dièdre à droite. L# | 4c | Dalle puis vires puis dalle à droite. L# | 5a | Dalle avec un rétablissement raide, puis dalle à droite. L# | 5b | Dalle puis dièdre-cheminée à droite (un pas expo), un zigzag à droite. Pour la deuxième moitié, ne pas s’enfoncer vers la cheminer mais remonter le ressaut à droite quelques mètres avant (points visibles depuis le relais). L# | 4c | Goulotte puis dièdre tout droit. L# | 5a | Dalle qui rejoint l&#8217;arête à droite. L# | 5c | Dalle sur le fil, superbe, la longueur est plus soutenue que les précédentes. L# | 4c | Écaille en rocher étonnamment sculpté. On peut continuer jusqu&#8217;au sommet du contrefort, près du névé oval, par 80&#160;m de rochers brisés en III.</p> <h2>Descente</h2> <ul> <li>En rappels dans la voie. Premier rappel délicat&#160;: descente droit puis penduler pour rejoindre l&#8217;arête.</li> <li><p>On peut aussi s&#8217;engager en haute montagne vers le névé Ovale et l&#8217;arête S.</p></li> <li><p>Prend le soleil dès le lever, après 16h il fait plus frais&#8230;</p></li> <li>Difficultés en dalles, avec quelques pas plus difficiles. Il vaut mieux être au niveau pour ne pas tenir compte des 6/7&#160;m entre certains points.</li> <li>Dalle, dalle et re-dalle. Arête à la fin.</li> <li>La voie sèche très vite après la pluie.</li> <li>Voie moderne, la réchappe peut se faire en rappel à tout moment.</li> <li>Bivouacs sous des pierres vers 2100&#160;m, ou sur les terrasses non loin du ravin de Coste-Counier à 2600&#160;m.</li> </ul>

Contreforts des Bans - Écrins - France

Contreforts des Bans - Isabelle aux Bans

Camptocamp

camptocamp

<h2>Approche</h2> <p>Du refuge par un sentier mal cairné dépasser la cascade, remonter une barre de dalles moutonnées puis une sente, traverser horizontalement sous la seconde barre vers la gauche, elle se franchit à gauche par des dalles moutonnées et un pas de 3, par des pierriers ou névés jusqu&#8217;à la face, 2 à 2h30. L&#8217;attaque se situe 100&#160;m à gauche des 2 profondes entailles qui délimitent une sorte de gigantesque pilier, sous une fissure cheminée ruisselante.</p> <h2>Voie</h2> <p>9 longueurs. Une longueur en arc de ciel à gauche, 3 à protéger difficilement, relai au sommet de ladite fissure ruisselante (sinon 6a direct). Traverser à droite sur quelques. mètres déversants 5c/6a, puis 5 tout droit. Ensuite des longueurs de 45&#160;m&#160;: 5b+, 5b, 5c, 5, 4+, 4 et 3 (dernière longueur pas conseillée&#160;: caillasses lors du rappel)</p> <h2>Descente</h2> <p>En 8 rappels dans la voie sauf le dernier en pleine dalle 10&#160;m à droite.</p> <p>En septembre soleil dès 8h.</p>

Contreforts des Bans - Bans Publics

<h2>Approche</h2> <p>Du bivouac ou du refuge remonter vers les contreforts, prendre un gros rognon à droite dans la vallée chemin cairné et poursuivre sur des vires faciles jusqu&#8217;à deux gros cairns sur une petite terrasse et de là, monter dans les dalles à droite (un pas d&#8217;escalade) et buter sur les contreforts La voie se situe à droite des contreforts, au pied de la grosse aiguille.</p> <h2>Voie</h2> <p>13 longueurs dont 10 longueurs dans la face, d&#8217;abord sur un gneiss noir cassant, puis sur un excellent granit. Ensuite 3 longueurs sur un très beau pilier pour arriver 15&#160;m sous le sommet des contreforts, que l&#8217;on gagne par l&#8217;arête facile&#160;: IV, V+, VIa, VIa, V+, VIa, V+, V+, III, V+, V+, V+. Tous les relais se font sur deux spits avec un maillon, et il existe un relais intermédiaire sous les toits pour éviter le tirage (conseillé)</p> <p>Le topo de Cambon est très précis.</p> <h2>Descente</h2> <p>En rappel dans la voie. Attention&#160;:</p> <ul> <li>Il y a des pierres qui tombent un peu partout.</li> <li><p>Certains rappels sont fortement pendulaires et délicats. Pour R9 descendre bien droit jusqu&#8217;à atteindre une mini-vire pour rejoindre le relais main droite avec la corde.</p></li> <li><p>Voie bien ensoleillé le matin</p></li> <li>Une des voies les plus &#8220;loin&#8221; des contreforts.</li> <li>L&#8217;approche est assez longue et l&#8217;escalade aussi. Les difficultés sont bien réparties sur l&#8217;itinéraire. L&#8217;équipement est moins rapproché que dans certaines voies Cambon (il faut parfois chercher son chemin).</li> <li>La voie est d&#8217;une grande richesse botanique. Respectez les espèces protégées.</li> </ul>

Contreforts des Bans - Tango interminable des perceurs de contreforts

<p>Itinéraire très homogène, très beau et direct.</p> <h2>Approche</h2> <p>Du refuge, remonter la vallée, laisser Coste-Counier à votre droite, remonter le glacier et les névés jusqu&#8217;à l&#8217;attaque. L&#8217;accès n&#8217;est pas difficile mais un peu long 1h30 à 2h30. Si la neige est un peu dure, les crampons et le piolet peuvent être utiles. Vous pourrez tout laisser au pied de la voie. Si tard en saison ou glacier et névé pas très bons à prendre, il est possible de passer par des vires&#160;: du bivouac ou du refuge remonter vers les contreforts, prendre un gros rognon à droite dans la vallée chemin cairné et poursuivre sur des vires faciles jusqu&#8217;à deux gros cairns sur une petite terrasse et de là, monter dans les dalles à droite (un pas d&#8217;escalade) jusqu&#8217;à deux gros cairns ensuite prendre à gauche une vire peu marquée (herbeuses au départ et étroite), la suivre passer une premier déversoir, puis un second caractéristique par sa couleur orangée (désescalader le deuxième puis remonter en face) pour continuer sur cette vire orangée jusqu&#8217;au-dessous de la voie (cheminement cairné sept 07).</p> <h2>Voie</h2> <p>C&#8217;est une voie très belle, très bien équipée à l&#8217;origine, type falaise, mais en haute montagne. Attention, <strong>l&#8217;équipement est vieillissant</strong>&#160;: il manque 1 ou 2 points et d&#8217;autres sont abimés. Longueur en dalle principalement, dans le 5b, 5c, avec une longueur plus dure en 6b (3 mouvements sur lesquels on peut tirer au clou, 6a ensuite). Les deux dernières longueurs sont un peu plus &#8220;montagne et arête&#8221;.</p> <p>L# | 5c | | L# | 5c | | L# | 5c | | L# | 5b | | L# | 5b/5c | | L# | 5b | | L# | 6b>5cA0 | | L# | 6a | | L# | 5b | | L# | 5a | | L# | 4b | | L# | 3b | |</p> <h2>Descente</h2> <h3>En rappel</h3> <p>Rappel possible dans la voie jusqu&#8217;à R8 (malgré le cheminement des longueurs, les rappels sont +/- dans l&#8217;axe).</p> <h3>En sortant au sommet</h3> <p>2 possibilités&#160;:</p> <ul> <li><p>Désescalade des deux dernières longueurs (attention aux chutes de pierres) et rappel depuis le R8 (déconseillé car rocher péteux)</p></li> <li><p>Descente en rappels dans sa voisine &#8220;Pas d&#8217;asile pour Pazuzu&#8221; (beaucoup moins de pierres)&#160;: bien suivre les spits en descendant), les 6 premiers sont dans l&#8217;axe et ensuite main droite au rappel.</p></li> <li><p>L&#8217;approche est orientée plein E&#160;: partir suffisamment tôt pour marcher à l&#8217;ombre, sinon c&#8217;est un four.</p></li> <li><p>La voie est SE, donc vite à l&#8217;ombre en début d&#8217;après-midi (rappels frisquets).</p></li> <li><p>Très belle vue sur le Pic des Aupillous.</p></li> </ul>

Padazil.....

Contreforts des Bans, R1 de Pas d'asile pour Pazuzu et de Sous le soleil de Satan

Contreforts des Bans - Sous le soleil de Satan

<p>La voie est superbe, bien équipée mais située en montagne avec une bonne marche d&#8217;approche. L&#8217;itinéraire se déroule sur un gneiss assez raide avec des prises bien crochetantes. Très homogène en V+/6a, passé la première longueur, la voie est plutôt en dalle puis se redresse jusqu&#8217;à être quasiment verticale dans les dernières longueurs.</p> <h2>Approche # 750&#160;m, 1h30/2h</h2> <p>Du refuge des Bans, remonter très logiquement le thalweg puis les névés/glaciers à vue vers la partie gauche des contreforts (vallon de gauche). <em>Attention, la marche d&#8217;approche peut être totalement différente en cas de manque de neige (on double les horaires) et le névé débouche dans un couloir (raide s&#8217;il est en glace) où les chutes de pierres sont constantes (déconseillée en fin de saison!!). dans ce cas prendre les vires (vallon de droite, cairnées) mais compter 2h30 à 3H.</em> L&#8217;attaque de la voie se situe sur la dernière vire à droite du couloir. Aller bien à droite de la vire pour trouver R0 perché 3&#160;m au-dessus. Départ par la première longueur de &#8220;Sous le soleil de Satan&#8221;. Pour le début de L2, traverser franchement sur la vire 10&#160;m à droite de R1 et suivre la ligne de goujons.</p> <h2>Voie</h2> <p>L&#8217;itinéraire est direct et sort juste à gauche de la brèche carrée très caractéristique.</p> <p>L# | V+ | | L# | IV | | 10&#160;m de marche à droite puis IV court (5&#160;m). R2 peut se shunter à la descente L# | V+ | | L# | V+ | | L# | V | | L# | 6a | | L# | V+/6a | | Superbe relais terrasse panoramique L# | V+ | | L# | 6a/b | | L# | V+/6a | | L# | IV+ | | L# | III | | R12 quelques mètres sous le sommet, escalade/désescalade facile</p> <h2>Descente</h2> <p>Descente en rappels dans la voie, très pratique car le terrain est très raide hormis la dernière longueur en III.</p> <ul> <li>L&#8217;approche est plein E, ne pas partir trop tard, ou prevoyez beaucoup d&#8217;eau&#8230;</li> <li>La face est SE, et voit le soleil dès son lever, par contre celui-ci passe assez vite derrière les contreforts, départ tôt conseillé&#160;!</li> <li>1<sup>re</sup> longueur à l&#8217;ombre assez raide puis les longueurs les plus dures arrivent sur la fin.</li> <li>À noter qu&#8217;il y a 2-3 pas, pas bien protégés qui valent un bon 6a obligatoire quand même.</li> </ul>

Edelweiss dans la face des contreforts des bans

Contreforts des Bans - Pas d'asile pour Pazuzu

<h2>Ski de randonnée</h2> <h3>Alpes</h3> <h4>Mont Blanc</h4> <p>Mont Blanc</p> <h4>Écrins</h4> <h4>Vanoise</h4> <h4>Vercors</h4> <p>Vercors</p> <h4>Chartreuse</h4> <p>La Chartreuse est un massif bien arrosé qui lui assure un bon enneigement malgré son altitude modeste (Chamechaude étant son point culminant (2082m). La première partie est généralement boisée alors que les sommets sont souvent défendus par de grandes barres rocheuses qui donne a ce massif un caractère qui lui est propre.</p> <h3>Pyrénées</h3> <h2>Alpinisme</h2> <h3>Alpes</h3> <h4>Chamonix - Mont Blanc</h4> <h4>Écrins</h4> <h4>Vanoise</h4> <h3>Pyrénées</h3> <h2>Escalade</h2> <h3>Verdon</h3> <h3>Hautes Alpes</h3> <ul> <li>Céuse</li> <li>Orpierre</li> </ul>

France

Contreforts des Bans

<p>[toc 2 right]</p> <p><em>Le massif des Écrins est un grand massif montagneux des Alpes françaises situé dans les Hautes-Alpes et en Isère. Il abrite d&#8217;importants glaciers, tant en nombre qu&#8217;en taille.</em></p> <h2>Situation</h2> <p>L&#8217;Oisans (bassin de la Romanche) au NW, le Champsaur (haut-bassin du Drac) au SW, et le Briançonnais (bassin de la Guisane) au NE recouvrent une partie du massif.</p> <p>Il est également bordé par la Durance à l&#8217;E et au S, qui alimente le lac de Serre-Ponçon.</p> <p>Le cœur du massif est entaillé profondément par des vallées comme celles du Vénéon, de Valjouffrey (la Bonne), de Valsenestre, du Valgaudemar, de Vallouise, de Freissinières et du Champoléon.</p> <p>Ainsi, on peut distinguer entre autres en son sein les chaînons de la Meije, du Pelvoux, du Rochail, du Soreiller, de Combeynot, du Chaillol, de l&#8217;Aiglière, de Dormillouse, de Rochelaire, du Mourre Froid.</p> <p>En outre, il est entouré par les massifs des Grandes Rousses]] et des Arves au nord, des Cerces au NE, du [[areas/14432|Queyras]] à l&#8217;E, de l&#8217;[[areas/14433|Ubaye]] au SE, du [[areas/14402|Dévoluy]] au SW, et enfin du [[areas/14408|Taillefer au NW.</p> <h2>Histoire</h2> <p>Avant le développement de l&#8217;alpinisme et de la géographie, le massif était très mal connu. En raison de sa taille et de sa complexité, les autochtones étaient incapables de se le représenter dans toute son étendue et lui attribuaient des noms impropres, voire pas de nom du tout. C&#8217;est d&#8217;ailleurs à peine si les sommets, sources d&#8217;angoisses, en portaient un.</p> <p>C&#8217;est ainsi que le nom le plus utilisé a longtemps été celui de massif de l&#8217;Oisans, puisque cette vallée comprend les villages de départ (La Grave, Saint-Christophe-en-Oisans, la Bérarde) vers la plupart des principaux sommets. L&#8217;extension aux autres vallées (Valbonnais, Valjouffrey, Valgaudemar), plus méridionales, s&#8217;est faite naturellement de par leur proximité et leur similarité. Plus surprenante a été celle à la partie briançonnaise du massif&#160;: un nom concurrent a alors émergé, celui de massif du Pelvoux, du nom du sommet, renforcé par la création d&#8217;un parc domanial dans cette zone, mais sans s&#8217;imposer.</p> <p>L&#8217;ambiguïté qui a subsisté pendant plusieurs années, avec l&#8217;emploi des deux noms, a tenté d&#8217;être résolue à la fin des années 1880 par Henry Duhamel et William Auguste Coolidge avec la création du terme massif du Haut-Dauphiné, mais dont la définition restait floue. Enfin, l&#8217;emploi de massif de la Meije est aussi apparu, mais avec une restriction géographique restreinte au nord du massif.</p> <p>La création du Parc national des Écrins en 1973 a mis tout le monde d&#8217;accord et a fini par imposer le nom actuel, non sans mal (comme en témoigne encore en 1978 l&#8217;ouvrage Le grand Oisans sauvage par Samivel).</p> <h2>Parc national des Écrins</h2> <p>Le territoire du parc national des Écrins (91&#160;800 hectares), créé en 1973, s&#8217;étend entre les villes de Grenoble, Gap et Briançon. Il est délimité par les vallées de la Romanche, la Guisane, la Durance et le Drac.</p> <p>Le parc compte une centaine de sommets à plus de 3000&#160;mètres et une quarantaine de glaciers (couvrant environ 17&#160;000 hectares).</p> <p>Il possède 740&#160;km de sentiers entretenus et balisés et une trentaine de refuges. Il contient de nombreux sommets dont l&#8217;ascension est restée célèbre, de la Meije se dressant à 3&#160;983&#160;m d&#8217;altitude, au-dessus du village de La Grave au Pelvoux (3&#160;946&#160;m d&#8217;altitude, longtemps considéré - à tort - comme point culminant du massif) en passant par la barre des Écrins, point culminant du Parc à 4&#160;101&#160;m d&#8217;altitude.</p> <h2>Géologie</h2> <p>Le massif des Écrins est constitué par un socle cristallin, avec quelques zones sédimentaires charriées, broyées ou rejetées en périphérie du massif. Il est d&#8217;une grande diversité géologique. En résumé, on trouve un pluton granitique au cœur du massif, au niveau de la Bérarde]]. Autour de ce pluton, se trouve une très vaste auréole métamorphique allant des anatexites ([[summits/38970|Mont Pelvoux]]), des migmatites ([[summits/38591|Barre des Écrins]]) à divers sortes de gneiss (partie supérieure de la [[summits/133422|Meije]], de l&#8217;[[summits/39668|Olan]] ou encore le [[summits/37988|Sirac). Ces gneiss, souvent amphibolitiques, constituent fréquemment la partie supérieure des hauts sommets, sous la forme d&#8217;un &#8220;chapeau&#8221;, assez caractéristique du massif.</p> <p>[warning]En Travaux[/warning]</p> <h2>Le massif</h2> <p>Description succinctes du massif et des principaux sommets</p> <h3>Les Écrins N</h3> <p>Accès par le Valbonnais, le Vénéon, la Romanche jusqu&#8217;au Lautaret</p> <h3>Les Écrins E</h3> <p>Lautaret - Gap</p> <h3>Les Écrins S</h3> <p>Gap - &#8230;</p> <h2>Le ski dans les Écrins</h2> <h2>L&#8217;alpinisme dans les Écrins</h2> <h3>Les principaux accès&#160;:</h3> <ul> <li>La Bérarde</li> <li><p>Ailefroide</p></li> <li><p>La Chappelle</p></li> <li>Le Désert&#8230;</li> </ul> <h3>Les classiques</h3> <h4>Facile (F)</h4> <ul> <li>Pic Coolidge&#160;: voie normale</li> <li>Mont Gioberney&#160;: voie normale</li> <li>Dôme des Écrins&#160;: voie normale</li> <li>Râteau E&#160;: voie normale</li> <li>Les Rouies par le Glacier du Chardon</li> <li>La Grande Ruine&#160;: voie normale</li> <li>Pointe de la Pilatte&#160;: voie normale</li> <li>Tête des Fétoules&#160;: voie normale</li> <li>Roche Faurio&#160;: Arête S (VN) <em>La voie normale de la Roche Faurio est un bel itinéraire glaciaire et neigeux, avec un final aérien en rocher facile, qui offre un superbe panorama, notamment sur le cirque des Écrins et le massif de la Grande Ruine. La vue de la face N des Écrins est saisissante et l&#8217;ascension de Roche Faurio peut en constituer un bon préambule.</em></li> </ul> <h4>Peu Difficile (PD)</h4> <ul> <li>Meije Orientale&#160;: voie normale</li> <li>Barre des Écrins&#160;: Versant N et Arête W (VN)</li> <li>Râteau E&#160;: Arête NE</li> <li>Traversée du Pelvoux</li> <li>Roche de la Muzelle&#160;: voie normale</li> <li>Petite Traversée des Écrins</li> <li>Râteau W&#160;: Arête W</li> <li>Les Rouies par le Pigeonnier</li> <li>Les Bans&#160;: Arête ENE</li> <li>Ailefroide Orientale&#160;: Arête S (VN)</li> <li>Les Agneaux&#160;: Arête S</li> </ul> <h4>Assez difficile (AD)</h4> <ul> <li>Traversée S-N de la Barre des Écrins.</li> <li>Traversée d&#8217;Ailefroide classique]] et [[routes/57732|intégrale</li> <li>Sirac&#160;: arête N</li> <li>Olan&#160;: voie Esara]], [[routes/54093|Arête N et traversée</li> <li>Gioberney&#160;: Voie du Mur de Glace</li> <li>Traversée du Râteau par les vires du versant S</li> <li>Grande Ruine&#160;: Arête SE]] ou [[routes/54458|Arête S</li> <li>Les Bans&#160;: Couloir Macho</li> <li>Barre des Écrins&#160;: Couloir Whymper</li> <li>Les Agneaux&#160;: Couloir Piaget</li> </ul> <h4>Difficile (D)</h4> <ul> <li>Traversée de la Meije</li> <li>Ailefroide&#160;: Arête de Coste Rouge</li> <li>Meije&#160;: Couloir en Z</li> <li>Pic de Chamoisière&#160;: Goulotte du Cret</li> <li>Voie Mayer Dibona au Dôme des Ecrins</li> <li>Traversée du Râteau par le fil de l&#8217;arête</li> <li>Les Bans&#160;: Pilier NE]], [[routes/54338|Couloir N</li> <li>Tête des Fétoules&#160;: Arête W</li> <li>Pic Sans Nom&#160;: Couloir NW]] et [[routes/54353|Coup de Sabre</li> <li>Col E du Pelvoux&#160;: couloir N</li> <li>Roche de la Muzelle&#160;: Couloir Durdan</li> </ul> <h4>Et encore plus&#8230; (TD, ED)</h4> <ul> <li>Ailefroide&#160;: Devies-Gervasutti</li> <li>Goulotte Boivin au Dôme des Écrins</li> <li>Pic sans Nom&#160;: Raie des Fesses</li> <li>Barre des Écrins&#160;: Pilier S</li> <li>Roche Faurio&#160;: Couloir N de Tombe Muré</li> <li>Ailefroide&#160;: Fourastier</li> <li>Olan&#160;: Voie Gervasutti</li> <li>Meije&#160;: Voie Pierre Allain</li> <li>Meije&#160;: Face N directe</li> <li>Pelvoux&#160;: couloir Chaud]], [[routes/58051|Pente centrale</li> </ul> <h2>L&#8217;escalade</h2> <h3>Fond de vallée</h3> <ul> <li>La Bérarde - Vallée du Bénéon</li> <li>Ailefroide</li> </ul> <h3>En prenant de la hauteur</h3> <ul> <li>Le cirque du Soreiller</li> <li>Face S de la Meije</li> <li>Aiguilles de Sialouze</li> </ul> <h3>Escalade engagé</h3> <ul> <li>Pic Sans Nom</li> <li>Face N d&#8217;Ailefroide</li> </ul> <p>Aiguille Centrale du Soreiller Aiguille Dibona Tête du Rouget</p> <h2>La cascade de glace</h2> <ul> <li>Vallon du Diable, haut lieu de la cascade de glace en hiver.</li> <li>Vallée de la Grave, nombreuses cascades facile d&#8217;accès</li> <li>Fournel et Fressinière&#8230;</li> </ul> <h2>La randonné pédestre</h2> <p>Tour des Écrins - Vallon du Lauvitel&#160;: vert et bucolique très apprécié des randonneurs. Le vallon bute sur le lac du Lauvitel qui barre l&#8217;accès à la réserve intégrale du Lauvitel. - Vallon de la Muzelle Son lac et son sommet ne laissera personne indifférent. - Vallon des Étages&#160;: sauvage et désert(é&#160;?). - Vallon de la Mariande&#160;: Vallon très sauvage. - Vallon de la Lavey&#160;: long vallon très esthétique avec probablement le plus beau pont du massif - Vallon du Carrelet&#160;: vallon qui, au départ de la Bérarde permet de rejoindre le glacier de la Pilatte&#160;; très fréquenté en été - Vallon des Étançons qui conduit à la face S de la Meije et son refuge du Promontoire. - Vallon du Diable, au dessus de Saint Christophe en Oisans</p> <h2>Liens externes</h2> <ul> <li>site officiel du Parc des Écrins</li> <li>informations Wikipédia sur le Massif</li> <li>site du Bureau des Guides des Écrins</li> </ul>

Contreforts des Bans

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Contreforts des Bans - Écrins - France

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